En France, l’artificialisation des sols, qui représente de 20.000 à 30.000 ha par an, augmente quatre fois plus vite que la population. Elle est la conséquence directe de l’extension urbaine consommant des espaces naturels, agricoles et forestiers (ENAF). Elle constitue aujourd’hui l’une des principales causes du changement climatique.
Face à cet enjeu majeur, la loi climat et résilience contre le dérèglement climatique demande aux collectivités de s’inscrire dans une trajectoire visant à l’absence d’artificialisation nette en 2050, soit dans 25 ans.
A Locmariaquer, les tensions sur le foncier constructible et la mise en œuvre des diverses lois limitent drastiquement l’extension des zones construites et contraignent fortement la commune qui ne dispose plus de foncier constructible disponible.
Ce sont des éléments à prendre en compte pour l’avenir des jeunes générations.
